24 mai 2018

Nos producteurs en vidéo : Semaine 17 Philapi

toutes les semaines, une nouvelle vidéo réalisée par Jean-Christophe sur les producteurs Biolib. Cette semaine, c'est Philippe, apiculteur en bio à Pouydraguin


Philippe Kindts est apiculteur en bio à Pouydraguin dans le Gers. Ses abeilles produisent des miels d'acacia, de châtaignier, de bruyère, de landes ou de fleurs de montagne.

contact: philapi@wanadoo.fr

Marché des producteurs Biolib 2018


En présence des producteurs de la Haute Garonne,du Gers et du Tarn et Garonne légumes, fromage, pain, vin, poulets, œufs, safran, tisanes, miel, pâtés végétaux, viande d'agneaux, farines...

Assiettes gourmandes à déguster sur place !

Animation musicale et scène ouverte à toutes et tous !

Retrouvez l’événement sur Facebook

17 mai 2018

Nos producteurs en vidéo : Semaine 16 Patricia de la ferme-laboratoire Caméline

toutes les semaines, une nouvelle vidéo réalisée par Jean-Christophe sur les producteurs Biolib. Cette semaine, c'est Patricia qui nous présente sa ferme-laboratoire.

 Patricia Lariguet a fondé la ferme-laboratoire Caméline pour produire des cosmétiques naturels et des tisanes bio à Latrape.

   

 transcription:
 J'ai fais le choix de fabriquer des produits à partir de matières premières que l'on trouve dans l'environnement proche pour les gens d'ici. Je cultive des plantes médicinales qui rentrent dans la composition des cosmétiques ou alors je les fait sécher pour faire des tisanes. c'est le principe. Si je fais la liste de tout, il y a de la menthe, de la mélisse, de la sauge, de la saponaire, de la consoude, du calendula, des roses, de l'origan, de la lavande, du thym, du romarin, de la camomille... J'avais envie d'un projet agricole, d'un projet paysan, d'être responsable d'un petit lieu riche en diversité, mettre des arbres, nourrir le sol pour que la vie s'y développe. Mais ce n'est pas évident d'avoir des contraintes écologiques très fortes, cela impose beaucoup de travail manuel. On a des vaches pour fertiliser les champs cela veut dire s'occuper d'un petit élevage. Il faut concilier ces contraintes économiques et éthique avec un revenu... La vie peut être dure ici parce que c'est intense en travail mais je suis récompensée. Je connais la plupart des gens à qui je vends et je me dis que ça va leur plaire. Je travaille pour eux et c'est vraiment important. Cela demande aussi un temps de travail de vente, se déplacer, faire les marchés et communiquer."

 contact: plariguet@laposte.net

10 mai 2018

Nos producteurs en vidéo : Semaine 15 Marc Valentin paysan meunier

toutes les semaines, une nouvelle vidéo réalisée par Jean-Christophe sur les producteurs Biolib. Cette semaine, c'est Hélène qui nous présente sa boulangerie.




Marc Valentin est paysan meunier en agriculture biologique produisant des farines de blés anciens.

transcription:
"je suis Marc Valentin, je suis agriculteur bio à Beaupuy dans le Tarn-et-Garonne, je suis producteur de céréales et légumes secs.
Alors nous avons du petit épeautre, du blé d'origine conventionnelle variétés modernes, des blés de variété anciennes,  du Rouge de Bordeaux et du Rouge du Lot.
question: pourquoi choisir des blés de variété ancienne ?
Parce qu'elles sont bien meilleures au goût et à la préparation. En culture elles sont bien adaptées aux modes de production bio, elles sont déjà plus adaptées au terrain, se sont des variétés locales pour la région.
question: pourquoi c'est plus cher ?
C'est du temps passé et une baisse de rendement, on va sortir moitié rendement, si on est à soixante quintaux en conventionnel sur une année moyenne, on va tomber à vingt cinq, trente ou trente cinq suivant les années, en bio.
Ça fait du travail mais on a le contentement de produire propre et de fournir une alimentation à un consommateur qui va être correcte.

contact: grenier-gasc@orange.fr

27 avr. 2018

Nos producteurs en vidéo : Semaine 14 les pains d’Hélène

toutes les semaines, une nouvelle vidéo réalisée par Jean-Christophe sur les producteurs Biolib. Cette semaine, c'est Hélène qui nous présente sa boulangerie.


Hélène Leplantec est boulangère au fournil Couleur des blés à Montjoire. Elle façonne des pains au levain naturel avec de la farine biologique produite par des paysans meuniers avec des blés anciens.

18 avr. 2018

Nos producteurs en vidéo : Semaine 13 domaine de Tucayne Sophie Chesney, sommelière

toutes les semaines, une nouvelle vidéo réalisée par Jean-Christophe sur les producteurs Biolib. Cette semaine, c'est toujours le domaine de Tucayne.



Sophie Chesney est sommelière au domaine de la Tucayne. Elle conseille et accueille les visiteurs en menant les dégustations des vins rouges blancs et rosés du chais. Sophie détaille les assemblages créés pour les cuvées telles que Synergie et Gabares.

12 avr. 2018

Nos producteurs en vidéo : Semaine 12 domaine de Tucayne Sébastien Almendros, œnologue

toutes les semaines, une nouvelle vidéo réalisée par Jean-Christophe sur les producteurs Biolib. Cette semaine, c'est toujours le domaine de Tucayne.


Sébastien Almendros est œnologue au chais de la Tucayne sur le vignoble de Saint-Sardos. Avec Jean-Claude Delpech, il élabore une gamme de vins issus de l'agriculture biologique.

29 mars 2018

Nos producteurs en vidéo : Semaine 11 domaine de Tucayne Jean-Claude Delpech

toutes les semaines, une nouvelle vidéo réalisée par Jean-Christophe sur les producteurs Biolib. Cette semaine, c'est le domaine de Tucayne.



À Bouillac, au domaine de la Tucayne sur le vignoble de Saint-Sardos, Jean-Claude Delpech nous raconte l'histoire de sa propriété et pourquoi il est le seul vigneron indépendant de cette appellation d'origine protégée. ▶http://domainedelatucayne.blogspot.fr transcription: "...nous produisons des vignes de Syrah, Tannat, Merlot pour faire des blancs des rosés et des rouges. question: l'histoire de ta vigne et de ton entreprise? historiquement nous avions toujours de la vigne au domaine de la Tucayne, mon père, mon grand-père et les générations avant et jusqu'à mon grand père, ils ont toujours fait le vin. Et puis mon père avait décidé de rejoindre et même d'être membre fondateur de la coopérative de Saint-Sardos. Après m'être installé sur le domaine quelque années plus tard, j'ai eu l'idée de créer mon propre chais ici, de sortir de la coopérative et faire tout de 'A à Z', de la production à la vinification jusqu'à la vente de mon produit. On avait à l'époque vint-cinq hectares de vignes, actuellement douze à treize hectares mais nous sommes plus spécialisés. Depuis peu je me suis associé avec un jeune œnologue qui m'aide surtout pour la vinification et qui m'a permis de développer une très belle gamme de vins rouges rosés et blancs. Petit à petit on développe cette production en faisant des replantations et en sortant de nouvelles gammes de produits que nous commercialisons directement à une clientèle particulière. On développe aussi le réseau cavistes restaurateurs, tous les magasins bio de la région puisque depuis 2007 je me suis tourné vers la culture biologique. Ce qui nous a permis d'avoir une nouvelle gamme de revendeurs bio et cela correspond beaucoup plus à l'attente de tout les deux, puisque Sébastien avait cette exigence lorsqu'il il s'est associé avec moi. Il voulait travailler avec cette philosophie là. Depuis 2010, tout se développe, on se réorganise pour les cultures, le chais et la commercialisation. Petit à petit, le 'bouche à oreille' aidant, on a des gens qui arrivent de tout horizons, qui apprécient nos produits et on est même proche d'une commercialisation au Japon ou au Canada. La production est assez faible, à petite échelle mais un peut partout dans le monde. On s'autorise tout ça. question: qu'est ce que cela change d'être dans le bio ? Ça change tout, Sébastien a eu sa formation et ses expériences dans le bio, moi j'étais dans le conventionnel et j'ai eu l'impression de changer de métier surtout au niveau cultural parce que je n'étais pas un amateur de pompes à désherber, c'était la partie pénible depuis très longtemps de la profession, cela ne m'a pas gêné de laisser tomber tout ça. On traite avec deux produits essentiels qui sont le souffre et le cuivre, on a appris a travailler avec les plantes, à faire des purins des tisanes. Un tas de chose qui nous a rapproché des plantes et voir ce qu'elles pouvaient amener à la vigne. Personnellement cela m'a amené un bien-être, cela va être mieux pour la vigne et mieux pour nous. C'est vraiment une révolution, il y a trois ans de conversion pour la vigne, et le vigneron se réinitialise aussi. Il faut penser différemment, il faut réfléchir. On a beaucoup plus de travail manuel mais c'est très intéressant. question: les circuits courts ? Je m'étais interdit de travailler avec les grandes surfaces, je n'ai pas le sens de la négociation. On établi des prix rémunérateurs, on a besoin d'un certain volume d'affaire pour pouvoir vivre, on fixe des prix en fonction de cela, on vend directement aux particuliers même si c'est des petites ventes. Cela demande beaucoup d'énergie et de contact mais on a un retour. Si les produits plaisent cela nous amène d'autre clients avec le bouche à oreille. On a maintenant un circuit de distribution que l'on a réussi à développer en engageant une jeune sommelière qui parle autant de technique que de vente au point d'en oublier la vente. Cela plait beaucoup puisqu'on s'adresse directement aux professionnels et même aux restaurateurs qui prennent le temps de nous recevoir, de nous rendre visite, de vendanger avec nous, d'accorder mets et vins. Ce sont des retours très enrichissants. ... sont cités dans l'interview: œnologue Sébastien Almendros sommelière Sophie Chesney

23 mars 2018

Nos producteurs en vidéo : Semaine 10, Thierry Serres

toutes les semaines, une nouvelle vidéo réalisée par Jean-Christophe sur les producteurs Biolib. Cette semaine, c'est Thierry Serres et ses fruits !



Thierry Serres est arboriculteur biologique à Moissac. Les fruits produits sont: cerises, pommes, poires, prunes, pêches et raisin chasselas.

15 mars 2018

Nos producteurs en vidéo : Semaine 9 Pierre-Henri de La Fage

toutes les semaines, une nouvelle vidéo réalisée par Jean-Christophe sur les producteurs Biolib. Cette semaine, c'est Pierre-Henri et sa volaille !
 

poulets bio élevés en plein air aux Jardins de Mauvers à Verdun-sur-Garonne. ces produits sont  issus de l'agriculture biologique.
Pierre-Henri de La Fage nous présente sont nouveau projet d'élevage de volailles en plein air sur de grandes surfaces arborées.

plus d'informations sur monpoulet.net

transcription:
"Je m'appelle Pierre-Henri De La Fage et je suis éleveur de poulets bio sous Amandiers et Grenadiers à Verdun-sur-Garonne aux Jardins de Mauvers. Projet 2017:  je m'installe en tant que jeune agriculteur ici aux Jardins de Mauvers avec deux associés, voilà, le projet c'est l'élevage de poulets bio et autres volailles notamment sous 'arbo' sous des amandiers et sous des grenadiers.
Plusieurs poulets, plusieurs volailles festives, des poulardes, des chapons à Noël et très prochainement des pintades. Différents produits comme le poulet entier mais également de la découpe, des duo de cuisse, des duo de filet et de la transformation, des rillettes, de la galantine de poulets ainsi que les œufs.
Ma nouvelle aventure a commencé il y a deux ans où j'ai choisi de revenir à la terre parce que j'en étais issu, je suis fils d'agriculteur dans la vallée du Rhône et c'était mon grand désir de revenir à la terre parce que cela me manquait. J'ai eu la chance de faire une formation en agriculture biologique à Montauban dans le cadre d'un CIF (congé individuel de formation)  et j'ai surtout eu la grande chance d'avoir accès à la terre (qui est souvent la difficulté pour un jeune agriculteur qui veut s'installer) par des amis qui sont céréaliers en conventionnel mais très raisonné et qui m'ont proposé au pied de leur propriété de monter un projet exclusivement en bio.
Donc vous êtes ici au cœur des Jardins de Mauvers."

8 mars 2018

Nos producteurs en vidéo : Semaine 8 Françoise et Benoit

toutes les semaines, une nouvelle vidéo réalisée par Jean-Christophe sur les producteurs Biolib. Cette semaine, c'est Françoise et Benoit.

5 mars 2018

Tapenade au chou fleur

Aujourd'hui une recette proposée par Ghislaine : la Tapenade au chou fleur

1 kg de chou-fleur 
Jus d’1/2 citron (ou + selon quantité de chou fleur)
5 cuillères à soupe de crème fraîche (facultatif)
Estragon (facultatif)
3 ou 4 Olives noires 
1 ou 2 Anchois 
Thym
3 gousses d'ail
Sel
Poivre
2 cuillères à soupe d'huile d'olive

Cuire le chou-fleur à la vapeur 

Laisser refroidir puis le couper en petits morceaux, écraser l'ail, puis ajouter le reste des ingrédients, saler et poivrer.

Mixer le tout jusqu'à l'obtention d'une pâte épaisse, que vous pourrez étaler sur des toasts au seigle ou du pain de campagne. 

1 mars 2018

Nos producteurs en vidéo : Semaine 7 Cécile de Bio des Coteaux.

toutes les semaines, une nouvelle vidéo réalisée par Jean-Christophe sur les producteurs Biolib. Cette semaine, c'est Cécile Steinbach de Bio des Coteaux.

Elle produit des fruits des fleurs et des plantes aromatiques de son jardin qu'elle récolte et transforme. Les jus, les sirops, les confitures et autres recettes de conservations traditionnelles sortent de son laboratoire jusqu'à l'automne. Leur distribution se fait en circuits courts tels que les marchés ou les boutiques spécialisée bio.


27 févr. 2018

Crème dessert avec potiron ou butternut

Aujourd'hui une recette proposée par Ghislaine : la Crème dessert avec potiron ou butternut

500 g de courge ou potiron
2 cas de purée de noisettes ou d’amande
1 citron
Sel et cannelle
Sucre brun
Préparer une purée de potiron, la laisser égoutter.
Mixer en y ajoutant purée de noisettes.
Ajouter le jus et le zeste de citron, une pincée de cannelle et une pincée de sel.
Sucrer à votre goût.
Servir froid. 

22 févr. 2018

Nos producteurs en vidéo : Semaine 6 élevage de porcin bio en plein air

toutes les semaines, une nouvelle vidéo réalisée par Jean-Christophe sur les producteurs Biolib. Cette semaine, c'est avec Eddy Georget qui élève des porcs à Bretx en Haute-Garonne.

 

16 févr. 2018

Nos producteurs en vidéo : Semaine 5 fromages de chèvres ferme de la Clario

toutes les semaines, une nouvelle vidéo réalisée par Jean-Christophe sur les producteurs Biolib. Cette semaine, c'est Françoise et ses délicieux fromages de chèvre !


 

9 févr. 2018

Nos producteurs en vidéo : Semaine 4 Philippe Demot

toutes les semaines, une nouvelle vidéo réalisée par Jean-Christophe sur les producteurs Biolib.

Cette semaine, c'est Philippe et son maraîchage bio à grande échelle !


1 févr. 2018

Nos producteurs en vidéo : Semaine 3 Maraîchage bio avec Sylvain

toutes les semaines, une nouvelle vidéo réalisée par Jean-Christophe sur les producteurs Biolib.

Cette semaine, c'est Sylvain et ses beaux légumes !

29 janv. 2018

Comment cuisiner les cardons par Super Xavier

Un peu de botanique
 Le cardon, appelé aussi carde, est une plante très proche de l'artichaut (ce sont des cultivars de Cynara cardunculus). Ils sont tous deux de la famille des chardons  (Astéracées) d'où vient le nom cardon.
C'est donc une plante bien différente de la blette (ou bette ou poirée) qui est de la famille des betteraves. Le fait qu'on mange les « côtes » de ces plantes ne doit pas les rapprocher, ni pour le goût, et encore moins pour la façon de les préparer comme on va le voir.

Un peu d'histoire
Ce légume rustique est surtout consommé dans la région lyonnaise, dans le Dauphiné et en Provence, où c'est un plat de fête que l'on mange traditionnellement au réveillon de Noël !
Son goût très fin d'artichaut, associé à une sauce élaborée, peut en faire un met de grande gastronomie. Maintenant que vous savez ça, vous ne le confondrez plus jamais avec des blettes.
Et si c'est un plat de fête, c'est aussi parce que c'est assez long à préparer …

Préparation et cuisson, à faire la veille
Pour passer de cette grosse branche filandreuse, un peu piquante, au goût amer, il va falloir un peu d'attention ! N'essayez pas d'improviser une recette comme je l'ai fait plusieurs fois : échec garanti !
Un bon cardon est très pâle, car il a été « blanchi » en culture, c'est à dire entouré de toile ou de journaux afin que les tiges restent dans l'obscurité. Le cœur du cardon en est la meilleure partie, ne le jetez surtout pas, mais dégagez le des parties filandreuses. Le bout des tiges et les tiges creuses, filandreuses, sont à jeter si vous voulez un plat de grande qualité. Il vaut mieux deux petits cardons qu'un gros.
Avec un petit couteau bien aiguisé, commencer par enlever les feuilles pour ne garder que les côtes. Lavez soigneusement ces dernières, avec une brosse si besoin.
Préparez 1 ou 2 litres (selon la quantité de cardes à y mettre) de ce qu'on appelle un « Blanc » : Délayer à l'eau froide une forte cuillerée de farine par litre d'eau salée (6 g au litre), ajouter une cuiller d'huile d'olive ou une noix de beurre et un verre de lait. Amener à ébullition durant l'épluchage des cardons (Attention, ça déborde vite à cause du lait !).
Pour l'épluchage : couper les cardes en tronçons d'environ 2 cm sur 4 : inciser au 3/4 et casser la tige en tentant d'enlever les fibres les plus dures. N'ayez crainte, la cuisson va beaucoup ramollir ces fibres, il n'est pas utile d'enlever toutes les fibres ; n'enlevez que les plus grosses, qui résistent au couteau. Attention, ça noircit les doigts : les mains fragiles devront être protégées par des gants !
Au fur et à mesure de l'épluchage, jeter les tronçons de cardons dans votre « blanc » en ébullition.
Laisser cuire une heure à feu doux. Couvrez, et laissez refroidir toute la nuit.

Assaisonnement et présentation, une heure avant de servir
La nuit dans l'eau du Blanc a adouci et attendri vos cardons : vous pouvez déjà les goûter pour vérifier. Il faut maintenant les assaisonner selon diverses possibilités.
-Comme vous le feriez pour des blettes, une simple sauce Béchamel peut faire l'affaire avec un peu de fromage râpé, mais c'est une sauce un peu lourde qui va masquer le goût fin du cardon.
-La sauce la plus simple est un « roux » (faire revenir des oignons dans de l'huile ou du beurre, ajouter une cuiller de farine, et diluer avec le Blanc qui a servi à cuire les cardons.
-les sauces plus élaborées partent d'un roux, que l'on enrichit de moelle de bœuf (c'est la recette lyonnaise traditionnelle, reprise par Bocuse) ou d'un bouillon de viande
Une fois recouvert de cette sauce, on peut y mettre un peu de fromage râpé (le Parmesan va très bien) en quantité raisonnable pour ne pas masquer le goût du cardon, avant d'enfourner le temps de chauffer et gratiner légèrement. J'aime l'accompagner d'une pintade rôtie.

25 janv. 2018

Nos producteurs en vidéo : Semaine 2 Odyssée d'Engrain pâtes et semences paysannes

toutes les semaines, une nouvelle vidéo réalisée par Jean-Christophe sur les producteurs Biolib.
Cette semaine c'est pâtes !


17 janv. 2018

Nos producteurs en vidéo : Semaine 1 Fanny et Jean Michel Strumia

toutes les semaines, une nouvelle vidéo réalisée par Jean-Christophe sur les producteurs Biolib.
On commence par nos maraîchers préférés !


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